Front Raw — la voix qui gratte un peu. Ici, pas de filtre. Pas de discours lisse. Juste des vérités à cru, des mots qui claquent, et des idées qui mordent. Chez LA FENNEK, on parle de ce qu’on vit, de ce qu’on voit, de ce qu’on refuse. Et surtout, de ce qu’on décide de changer.
Il y a des vérités qu’on connaît tous, mais qu’on préfère ignorer : un vêtement ultra-cheap ne peut pas être éthique. Point.
Chez LA FENNEK, on fabrique en Europe, avec des ateliers certifiés, des conditions dignes et des matières propres.
Et forcément… ça ne peut pas sortir au prix d’un t-shirt à 3,99€ expédié d’un entrepôt opaque à l’autre bout du monde.
Bienvenue dans la face raw de la mode.

1. Derrière un prix bas, il y a toujours quelqu’un qui paie.
Spoiler : ce n’est pas le client.
Dans la fast fashion, les coûts sont écrasés sur celles et ceux qui fabriquent — salaires ridicules, horaires monstrueux, aucune protection.
Le résultat ?
Un tee-shirt moins cher qu’un café.
Et une main-d’œuvre qui trinque en silence.
En Europe, ça n’existe tout simplement pas. Les ateliers doivent respecter la loi, la sécurité, la dignité.
Oui, ça coûte plus cher.
Et non, on ne marche pas dessus.
2. Les matières certifiées ne poussent pas dans les bons plans douteux.
Quand on choisit un tissu certifié GOTS, France Terre Textile ou équivalent, on paye :
✔ un coton propre,
✔ un travail contrôlé,
✔ pas de substances toxiques,
✔ une tenue dans le temps.
La fast fashion ?
Polyester de mauvaise qualité, traitements chimiques agressifs, textiles qui se déforment après deux lavages.
C’est moins cher c'est certain.
Mais ça finit à la poubelle plus vite qu’une trend TikTok.
3. Produire près, c’est mieux contrôler.
Fabriquer en Europe, c’est pouvoir passer à l’atelier, connaître les équipes, savoir exactement qui fait quoi.
On réduit les kilomètres, le CO₂, les intermédiaires, et surtout les surprises.
La fast fashion, elle, navigue entre sous-traitants sous-traités, cargos interminables et chaînes d’approvisionnement opaques.
Résultat : impossible de savoir ce que vous portez vraiment.
4. Le vrai luxe ? La durée.
Un vêtement durable, c’est celui que tu gardes, que tu portes, que tu répares éventuellement. C’est un investissement, pas un achat impulsif. C'est une pièce que tu prêtes, que tu donnes, qui vit !
La fast fashion, elle, vit sur la rotation rapide :
acheter → user → jeter → recommencer.
Une boucle parfaite… pour remplir les décharges et les littoraux de la planète.
| Critères |
Slow Fashion type |
Fast Fashion type |
|---|---|---|
| Origine | Europe, ateliers identifiés | Asie, sous-traitants opaques |
| Main-d’œuvre | Salariée, protégée | Surexploitée, sous-payée |
| Matières | Certifiées, durables | Bas de gamme, polluantes |
| Qualité | Résistante, pensée pour durer | Jetable, dégradée en quelques lavages |
| Impact environnemental | Transport court, normes strictes | Empreinte massive, production démesurée |
| Modèle économique | Moins mais mieux | Toujours plus, toujours plus vite |
| Prix | Juste | Trompeur |
Conclusion : payer le vrai prix ou laisser quelqu’un d’autre le payer
Le Made in Europe n’est pas un luxe.
C’est un choix.
Un choix qui dit :
on fabrique propre, on fabrique mieux, on fabrique sans exploitation.
Chez LA FENNEK, on préfère que ce soit notre responsabilité… pas celle d’un ouvrier anonyme qui bosse 14h par jour pour quelques centimes.