La mode a toujours fait peur au patriarcat.

Front Raw — par LA FENNEK

Front Raw — la voix qui gratte un peu. Ici, pas de filtre. Pas de discours lisse. Juste des vérités à cru, des mots qui claquent, et des idées qui mordent. Chez LA FENNEK, on parle de ce qu’on vit, de ce qu’on voit, de ce qu’on refuse. Et surtout, de ce qu’on décide de changer.

La mode comme manifeste : plus de 100 ans de féminisme, de fashion et d'esprit rebelle


Quand la mode devient arme

Dans les années 1910, les suffragettes anglaises brandissaient leurs bannières… et portaient le violet, le blanc et le vert.
Leur tenue était leur manifeste : respectable, codée, stratégique.
Plus tard, les années 60 et 70 ont libéré le corps — mini-jupes, pantalons, cheveux au vent —, transformant le vêtement en acte politique. Comme le souligne L’Officiel USA : “Feminist fashion isn’t about rejecting beauty — it’s about redefining it.”

Depuis, chaque époque a eu sa silhouette du combat : la robe blanche des marches pour le droit de vote, le tailleur des working girls, le crop top des manifestantes #MeToo, le T-shirt à message des jeunes générations.

La mode, écrit encore L’Officiel USA, « suit les femmes dans leurs luttes, et parfois, les précède. » Selon VOGUE : "Démocratisé par les femmes d'Hollywood comme Marlene Dietrich, Katharine Hepburn et Greta Garbo, puis repris par les femmes politiques d’aujourd’hui, l’ensemble tailleur-pantalon s’est construit sur une résistance féministe, des années 1930 à aujourd’hui". Marlène Dietrich fut l'une des premières à s'afficher en pantalon et sans complexe dès les années 20. Il faut attendre quasi 100 ans, soit 2013 en France, pour l'abrogation officielle de l'interdiction du port du pantalon pour les femmes


LA FENNEK : féministe jusque dans les fibres

« Féministe jusqu’à l’équité. »
Ce n’est pas un slogan. C’est une ligne de front.

Chez LA FENNEK, cette idée ne se raconte pas : elle se porte.
Nos pièces sont pensées pour bouger, pour durer, pour parler.
Parce que la liberté commence dans le confort, et que le style n’a de valeur que s’il respecte le corps qui le porte.

  • 🌿 Vêtements 100 % coton bio (GOTS), fabriqués au Portugal.

  • 🇫🇷 Tote bags recyclés Made in France en fibres recyclées, certifiées France Terre Textile.

  • 💸 1 € reversé à des associations féministes pour chaque pièce vendue, à commencer par l'UNFF.

Pas de poudre aux yeux. Juste une mode honnête, consciente, frontale.


Le vêtement comme terrain de lutte

Les militantes interrogées par Modes Pratiques l’expriment sans détour : « Le vêtement est un système de pouvoir — mais aussi un espace de liberté. »

Porter un pantalon fut un geste. Porter du rose, un autre.
Aujourd’hui, revendiquer la jupe, la capuche, le hoodie oversize ou le t-shirt à slogan, c’est aussi résister. Car se vêtir, c’est se dire.

Chez LA FENNEK, nos pièces ne “habillent” pas : elles prennent position.


Front Raw : s’habiller pour se dire, pas pour plaire

Certaines féministes, dans les années 70, pensaient que la libération passait par le refus du beau. Mais comme le rappelle L’Officiel USA, les nouvelles générations ont compris que le féminisme ne s’oppose pas à l’esthétique :

“Beauty can be power — when it belongs to us.”

C’est là tout l’esprit Front Raw : être belle ou ne pas l’être, sexy ou sobre, chic ou brute — mais libre de choisir. Ce choix, c’est le cœur de LA FENNEK.
Des vêtements faits pour se raconter sans s’excuser, pour oser sans demander.


Vers une mode consciente et sans concession

Le féminisme d’aujourd’hui n’est pas qu’un combat : c’est une manière d’exister.
Et la mode, loin d’être superficielle, en est le langage le plus visible.

Chez LA FENNEK, on croit qu’une mode féministe peut être belle, durable et radicalement juste.
Nos vêtements sont des manifestes — à enfiler, à montrer, à vivre.

Parce qu’au fond, la liberté, ça se porte.


📚 Pour aller plus loin